Autolycus de Troie
Messages : 173 Date d'inscription : 23/03/2008
| Sujet: Virgile Kael Thas. Lun 15 Sep - 7:23 | |
| Nom : Kael Thas
Prénom : Virgile
Age : 20 ans
Description physique : C’est un jeune homme, au visage angélique, assez grand, très fin, typique des parangons. Il a les traits de son père, des cheveux coiffés d’une manière telle qu’ils fouettent son visage sérieux. Son regard glacier, hérité de sa mère, sont expressifs et reflètent son humeur. Virgile est beau au sens littérale du terme. Mais ce n’est pas sa seule qualité.
Description morale : Altruiste, réservé, patient, c’est quelqu’un d’idéaliste. Il croit en la justice et aux valeurs humaines. C’est un homme vaillant, pas encore rongé par la corruption et l’avidité. Malgré sa jeunesse, il tentera d’être à la hauteur de ses propres espérances. C’est un chef dans l’âge, entêté parfois, capable de tout sacrifier pour le bien de son peuple. C’est un seigneur qui n’est pas obsédé par la guerre ni par le profit matériel.
Classe : Parangon.
Profession : Prince de la cité.
Lieu de naissance : Dans le grand Nord.
Biographie : Je suis né dans la neige. Sans aucune assistance médicale, juste avec mon père et ma mère. Et peut-être ma grand-mère, la fameuse Artémis, déesse chasseresse de mes pairs grecs. Mon père était un Prince Troyen, garant d’Ilion aux hauts remparts, et ma mère était une élue Amazone. Je devais donc aspirer à devenir à la fois un grand guerrier, mais aussi un bon chef. J’étais né pour ça, pour prendre la suite du royaume.
Je passai mon enfance seul. Ma mère disparut un long moment. Je restai seul avec mon père, mêlé avec les enfants des autres citoyens de Themiskyra. Il m’apprit tout ce qu’il s’avait. Nous passâmes de longs moments complices. Il m’amenait à la chasse, m’apprenait comment monter à cheval, à gérer les ressources d’un pays. Et évidemment, il m’apprit à manier la lance. Mais ce n’était pas pour moi, la guerre. J’étais un bon apprenti. Mais je ne manifestai aucun intérêt à cette discipline violente. Mon père en nourrit peut-être un peu de regrets. Mais il fut ravi de voir mon attrait pour l’écriture, l’oraison, la philosophie, et le plaisir certain que j’avais à débattre.
J’étudiai donc sans arrêt dans la bibliothèque de Themiskyra. Parfois, père m’emmenait avec lui et me permettait de mettre au point mes talents politiques. Je fis mes classes avec Ireths Arcamenel, les filles de Cordelia et de Kalen, Krishna Knightley, Krishna Sinclair et Evadne Baal. Pour qui il s’avérait que je ressentais de l’attraction. C’était pour moi quelque chose de nouveau. Et tandis que j’apprenais les valeurs de la justice auprès de nos philosophes, je tombai amoureux. Enfin mon lyrisme servait à quelque chose. J’avais plaisir à avoir une conversation avec elle. Et pour moi, rapidement, plus rien ne comptait d’autre que son bonheur. Nous fûmes promis. Nous les sommes encore. Mais entre temps, je terminai ma formation à l’Académie.
Je me devais de me fixer un challenge, un défi. Je devais prouver ma valeur aux yeux des autres. Et j’avais une philosophie à défendre ardemment. J’optai pour quitter ma guilde et crée mon état. Père, qui était connu des autorités Vabbiennes, obtint quelques terres limitrophes aux Kournans. Nous serions un état pacifique, avec pour optique de répandre la culture et la connaissance, mais aussi de porter secours à ceux qui étaient dans le besoin. Personne ne devait rester sans protection.
C’est ainsi que naquit Arcadia et la garde Praetorienne…
[to be continued]
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