Sara Delaforet

Nom : Delaforet

Prénom : Sara

Âge : 30 ans

Profession principale : rôdeuse

Profession secondaire : moniale

Description physique : sara est une femme plutôt grande de type sportive, avec des cheveux frisées de couleurs très sombres. Ses yeux sont très claires, de couleurs bleu. Certains lisent dans son regard un grain de folie. Elle semble constamment voir au-delà des êtres et de la nature…

Description morale : sara aime l’aventure ! Elle est taillée pour ça ! L’exploration du monde ne lui fait pas peur car elle peut apprendre chaque jour un peu plus. Sara lutte aussi pour la justice et l’égalité de tous. C’est pour cela qu’elle n’hésite pas à aider les gens (et occire les mécréants lorsqu’il y a besoin). Elle ressent néanmoins toujours le besoin de sentir seule pour communier avec la nature qui lui transmet les énergies pour combattre

Biographie : Sara est née dans une riche famille de marchands d’Ascalon. Elle n’a jamais eu besoin de rien. Ses parents l’emmenaient tout le temps avec elle lors de leurs déplacements commerciaux. Ainsi, la toute jeune sara découvrit beaucoup de paysages différents. Elle se souvient encore de la première fois qu’elle découvrit les côtes ensoleillé de la Kryte : « Un bain de sérénité » dit-elle encore aujourd’hui…

Mais elle n’a jamais eu de point d’attache. Rien pour s’accrocher. Aucun point de repère, si ce n’est la caravane dans laquelle elle passait le plus clair de ses journées. Elle n’avait pas d’amis. Si elle s’en faisait, ce n’était que des enfants rencontrées dans des villes de passages où ses parents restaient le temps de faire du commerce…Et puis rien. Il se pouvait que l’année d’après, dans la même ville, une épidémie ou une guerre ait tué ses amis. Donc sara n’a jamais pu profité pleinement de jeunesse. Elle regardait sans cesse les paysages et parlait un peu avec les gardes qui escortaient la petite troupe. C’était la mascotte de tout le petit groupe !
Elle fut marqué par les récits d’une guerrière qui racontait chaque soir, au coin du feu, ses batailles dans tous le continent. Ces histoires fascinaient la petite sara avide de connaître le monde qui l’entourait : que pouvait cacher ses montagnes, ces vagues immenses, ces montres belliqueux ? Sara commençait à nourrir ses rêves d’aventures.

Alors que la caravane traversait la jungle de Mugumma, un orage terrible éclata. Tous le groupe se réfugia sous un rocher qui leur servirait tant bien que mal d’abris pour se protéger d’une pluie haineuse. Sara, encore une enfant, tomba dans une crevasse. Ses parents décidèrent d’y aller seuls en ordonnant aux gardes de veiller à la caravane. Ses parents s’approchèrent de la petite fille coincé entre les racines. La pluie déferlait avec violence. Personne ne pouvait rien voir. Heureusement, son père réussit à récupérer sa fille. Mais revenu au camp, sara s’endormit en contracta une violente fièvre. Tous le monde dormait alors au son de la pluie battante. Un tigre blanc vint calmement dans le camp et récupéra la petite fille puis il l’emmena avec lui. Le père se réveilla et vit la scène. Il prit une arme mais quelque chose l’empêcha d’abattre le tigre. Le tigre n’avait pas l’air aggréssif, et sara était vivante. Le tigre dégageait une noblesse. Son père se mit à suivre le tigre sous la pluie battante. Ainsi il suivit le tigre dans la jungle, en pleine nuit. Toute était hostile. Et pourtant. Il se sentait en sécurité. Les arbres ruisselaient de partout, le sol n’était plus que de la boue. La marche était difficile. Et sa fille. Fiévreuse et prise par un tigre. Leur périple durât près d’une heure. Ils arrivèrent dans une clairière. Le père reconnu une statut de la déesse de Melandru. Le tigre posa la petite sara. Au bout de quelques minutes, elle prit une sommeil calme et lourd. Elle était maintenant guéri. Le tigre regarda quelques instant le père stupéfait du miracle et partit dans la jungle. Son père prit sara et la ramena à la caravane.

Les années passèrent et les voyages à travers la Tyrie aussi…

Sara s’intérressa à la nature et ses formes : les plantes, les animaux. Elle semblait proche de ce monde. La nature lui parlait.

Mais avec les guerres incessantes, ses parents laissèrent sara à oncles et tantes de la famille.
C’était dans une ferme non loin d’Ascalon. Durant cette période, elle se perfectionna dans l’usage des arcs et le maniement d’outils. Elle passait de plus en plus de temps dans les forêts proches de la ferme. Parfois, elle pouvait rester des semaines sans qu’elle donne de nouvelles. Tous le monde s’inquietait. Mais une nouvelle allait bouleverser sara : ses parents furent attaqué dans leurs voyages. Personne ne survit à l’attaque. Elle partit se réfugier dans la nature, loin du comportement guerrier des civilisations humaines…Pendant plusieurs années, elle vécut dans l’austérité. Traversant des forêts, des bois, des montagnes. Elle survit. Failli mourir plusieurs fois de maladies, d’attaques d’animaux sauvages…Elle ne sait pas tout ce qu’elle a pu parcourir dans cette période. Mais alors qu’elle passait au abord d’un bois, elle entendit des voyageurs parlé d’une guerre contre les charrs et des innocents qui mouraient…C’est là que sara sentit qu’il fallait revenir à la civilisation. Elle revint dans Ascalon. Et decida d’aider les troupes à repousser les attaques.

Elle se rendit à Ascalon. L’officier chargé d’inscrire les volontaires demanda le prénom et le nom des personnes. Ayant passé longtemps dans la nature, Sara ne souvenant plus de son nom de famille. Elle répondit simplement : « De la Forêt ! » avec un petit sourire. L’officier fut surprit mais marqua le nom.

C’est alors que débuta son apprentissage en tant que rodeuse. Elle se tourna naturellement aussi vers la proféssion de moine car elle aime aider les gens.

Puis vint la Fournaise.

Comme de nombreux survivants, Sara du vivre péniblement parmi les décombres du Royaume. Elle survicu bien du fait de ses austérités pratiqué dans les fôrets. Elle aida les troupes du prince Rurik. Mais durant une mission au alentour des Ruines de Surmia, elle rencontra une envouteuse repondant au nom de Dame Sarra. Sara arrivait à détendre les membres de l’escouade et sympathisa avec l’envouteuse. Les deux personnes commençaient à s’apprécier et elles s’amusaient d’avoir le même prénom. Dame Sarra proposa à Sara de rejoindre sa guilde « La Brigade Fantôme ». Notre rodeuse prit quelques jours de reflexion dans les bois et revint en acceptant la proposition. Elle faisait maintenant parti de la guilde.